इएन्वेनुए अ ख़त्मन्दौ
Toutes les valises et colis passent à nouveau aux rayons-x (cela doit-être la quatrième fois depuis Genève) j'ai fais bonne impression, juste avant le tunnel, le douanier me fais signe de passer directement,j'avais un set de 14 couteaux de cuisine et en cette période de trouble cela aurai put être de la provocation.
La foule de tous les côtés, qui viens me chercher à l'aéroport ? Arun ou Sagun son frère , Neerhaj mon contact au Népal, c'est la devinette, je passe la porte principale, les petites pancartes en veux-tu en voilà, Hotel Everest, UN, TouristOne, John Holl, etc, tous me font signe, tous le monde crie, ils attendent tous un européen, un ami, un coopérant , un expert. J'arrive sur le parking et le cri d'Arun ne peux que retenir mon attention Al-l-l-l-lan, c'est lui je le reconnais dans la centaine de curieux. et en taxi si cela en est un.....allez courage en route pour la ville...captivant la circulation, ici tu refais ton permis :-)
Avec 2 heures de retard, atterrissage à Katmandou, chaleur humide et tout de suite dans l'ambiance locale, du monde partout , rien de mécanique, pas de jetty, pas d'aéroport intercontinental, l'airbus-330 parait démesuré par rapport aux équipements de piste, cela me rappelle mes vols Swissair (CV-990, DC-8 entre 1966- et 1974) dans cette régions du globe, tout était plus simple.
A la sortie de l'avion, comme toujours ruée dans les bus, et mes prédictions allaient s'avérer exactes il faut de toute façon attendre, 1h30 pour les bagages, ma surprise...je ne savais pas que les soutes de l' A-330 pouvaient contenir autant de colis. Chacun des 200 Népalais à bord avait, un cadeau, un poste TV, une machine à laver et autre balluchon volumineux, bien sûr après 2 voir 3-4 ans d'absence.
Je passe le contrôle des visas en douceur, en ligne comme toujours,mon tour arrive l'agent de la police des frontières me dévisage et avec une certaine nonchalance colle le timbre et appose son tampon avant de me rendre mon passeport avec le sourire.A la sortie de l'avion, comme toujours ruée dans les bus, et mes prédictions allaient s'avérer exactes il faut de toute façon attendre, 1h30 pour les bagages, ma surprise...je ne savais pas que les soutes de l' A-330 pouvaient contenir autant de colis. Chacun des 200 Népalais à bord avait, un cadeau, un poste TV, une machine à laver et autre balluchon volumineux, bien sûr après 2 voir 3-4 ans d'absence.
Toutes les valises et colis passent à nouveau aux rayons-x (cela doit-être la quatrième fois depuis Genève) j'ai fais bonne impression, juste avant le tunnel, le douanier me fais signe de passer directement,j'avais un set de 14 couteaux de cuisine et en cette période de trouble cela aurai put être de la provocation.
La foule de tous les côtés, qui viens me chercher à l'aéroport ? Arun ou Sagun son frère , Neerhaj mon contact au Népal, c'est la devinette, je passe la porte principale, les petites pancartes en veux-tu en voilà, Hotel Everest, UN, TouristOne, John Holl, etc, tous me font signe, tous le monde crie, ils attendent tous un européen, un ami, un coopérant , un expert. J'arrive sur le parking et le cri d'Arun ne peux que retenir mon attention Al-l-l-l-lan, c'est lui je le reconnais dans la centaine de curieux. et en taxi si cela en est un.....allez courage en route pour la ville...captivant la circulation, ici tu refais ton permis :-)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire